sexta-feira, janeiro 27, 2006 |
Indispensável... pelo prazer |
Cómo contagiar el placer de leer: 11 consejos1. Lean libros con frecuencia delante de sus hijos y que se note que los aprecian. Los egipcios decían: “Ama los libros como amas a tu madre”. Y, vayan haciendo una biblioteca familiar, en un sitio accesible de la casa. Pérez-Reverte, hablando de sus primeras lecturas, decía: “Tuve la suerte de crecer con libros cerca; sólo tenía que acercarme a las estanterías y cogerlos”. Que sea una biblioteca sin llaves, accesible a todos. Serán muy escasos los libros que unos padres pueden leer y sus hijos todavía no. 2.- Compren libros habitualmente, pero bien seleccionados: son el alimento de la inteligencia y, por ello, hay que garantizar que la mercancía es de excelente calidad. En el cerebro, cualquier virus se reproduce inmediatamente. Hay tanto que leer y tan poco tiempo en la vida para hacerlo, que merece la pena afinar la puntería y leer sólo lo mejor. 3.- Que siempre haya un libro para cada hijo entre los regalos de Reyes y del santo y cumpleaños. Animen a sus hijos a que tengan la ilusión de hacerse su pequeña biblioteca de libros infantiles. 4.- Léanles a sus hijos, al menos 15 minutos cada día: les aclararán dudas de palabras nuevas, expresiones hechas, refranes, dichos y, a la vez, les harán ver qué conductas están bien y cuáles van contra su dignidad de personas. Luis Vives recomendaba a uno de sus discípulos: “Procura que no pase un solo día sin leer y escribir algo”. Paco Abril se pregunta: “¿En cuántos hogares se les cuentan cuentos a los niños? En muy pocos. Los niños a los que se les leen cuentos, descubrirán que las historias que les conmueven y apasionan, están en los libros”. 5. Hagan que sus hijos lean delante de Uds.: les enseñarán a pronunciar bien las palabras, hacer las pausas debidas y leer con el ritmo correcto. Después, pregúntenles si han entendido lo que han leído, para aclarar conceptos y enriquecer su vocabulario. 6.- Dediquen algún tiempo del fin de semana a leer en familia alguna obra maestra de la literatura y a debatir después sobre lo leído. 7.- Contraten videos basados en buenas obras literarias para, después, animarles a leerlas. Sólo de las obras de Shakespeare se han filmado 336 películas. 8.- Infórmense bien de los cuentos, libros, cómics adecuados a la edad de cada uno de sus hijos, para acertar en la elección y lograr que se interesen por cultivar esta afición en el futuro. 9.- A la misma edad, la madurez de cada hijo es distinta. Un libro adecuado para uno no lo será para otro. Hay que distinguir entre niños y niñas, no por machismo, sino porque tienen sensibilidades diferentes. 10.- Moverse sobre un plano inclinado, para no llegar al empacho, sin forzarles los gustos, para evitar posibles rechazos. Las colecciones de ‘comics’ bien elegidas, pueden aficionar. Poco a poco se aumenta la dosis, hasta llegar a la universidad habiendo leído a los clásicos. Como decía un viejo profesor de literatura, “en los clásicos están todas las miserias humanas, pero bien resueltas”. 11.- Si ven algún hijo suyo adolescente con un libro poco aconsejable, no lo pueden dejar pasar por alto. Albino Luciani dice: “En los libros de hoy, cuesta trabajo encontrar gentiles doncellas, alegres y sentimentales, pero pudorosas y reservadas. (..) Tus heroínas, (Walter Scott), tienen sentimientos delicados y se sonrojan con facilidad; las protagonistas de hoy no se sonrojan jamás: fuman, beben, ríen a carcajadas y no son más que un fenómeno biológico o una diversión. El matrimonio no es nunca el desenlace normal de una novela. Con frecuencia (las jóvenes), además de corrompidas, son cínicas y sanguinarias”.
Retirado d'aqui.
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posted by George Cassiel @ 10:19 da tarde |
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quarta-feira, janeiro 25, 2006 |
Aperitivos |
Aparentemente, há que se queixe de que este blog anda a ser pouco actualizado. E, provavelmete, terá razão. Hoje fica apenas um pequeno aperitivo. |
posted by George Cassiel @ 10:48 da manhã |
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quinta-feira, janeiro 19, 2006 |
Definições |
ferrinhos s. m. pl., instrumento de ferro ou aço em forma de triângulo que se tange com uma haste do mesmo metal; instrumento para desaparafusar as peças da espingarda, a fim de se limparem. |
posted by George Cassiel @ 4:47 da tarde |
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Triângulos |
"Tudo o que faço se baseia em quatro triângulos. Um pequeno triângulo que liga a matemática à língua e à música, que são os instrumentos e as disciplinas de treino do cérebro, que quando se alargam a uma dimensão superior formam o triângulo do conhecimento - arte, ciência e filosofia. Esse triângulo, em termos sociais, traduz-se na memória do passado, na capacidade de intervir no presente e de ficcionar o futuro, acabando naquilo que inquieta o Homem, que é o que se passa no Universo, o que se passa dentro de nós ao nível do cérebro e o que se passa no centro da Terra, tudo coisas que desconhecemos totalmente." CF ao Expresso (Actual) 14.1.06 |
posted by George Cassiel @ 4:35 da tarde |
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Leituras recomendadas |
La communauté émotionnelle par Cynthia Fleury. "C’est peut-être à tort que l’on accuse notre société d’être sous la tutelle de l’émotion, peut-être à tort que l’on dénonce chez elle la propension à préférer l’émotion à l’idée, ou encore à l’action, ou tout simplement à les confondre..., peut-être à tort enfin qu’on se désole, dans un grand soupir, du spectacle de l’émotion dont elle aime à se repaître. Pourquoi ? Car c’est oublier, comme nous le rappelle Bernard Rimé (1), éminent professeur à la faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de l’université de Louvain (et surtout cofondateur de l’unité de recherche « Émotion, cognition et santé »), que séparer les émotions des pensées ne permet pas de saisir ce qui se passe en réalité dans le champ social. « Quand on les exprime, qu’on les communique, émotions et cognitions se trouvent dans une continuité intériorisée, écrit Serge Moscovici qui préface l’ouvrage ; elles sont les facettes d’une même expérience psychique, le résultat d’un même processus. La théorie de Rimé nous montre à l’oeuvre ce que le philosophe Stanley Cavell appelle knowing by feeling, « connaître par le sentir ». Chez Rimé, le « sentir » ou le « ressentir » a la fonction d’une pierre de touche. Alors, bien sûr, si tel est le cas, l’expérience émotionnelle présente un impact social et cognitif non négligeable, et surtout non dénigrable. Les émotions, comme les cognitions, de manière indissociable, sont là pour nous informer sur le monde que nous avons en partage. Et de même qu’« une connaissance non partagée est un fardeau », de même une émotion non partagée est un fardeau, « à la manière dont un secret peut être un fardeau s’il demeure incommuniqué ou incommunicable ». En effet, quand le cerveau humain fonctionne, il « entre en dialogue », il « entre en sympathie », il « fonctionne en réseau avec les autres cerveaux du milieu social et se trouve ainsi connecté au savoir et au sens qui circulent dans ce milieu ». C’est dans ce champ-là que les émotions émergent et « ouvrent des chantiers qui mettent à l’oeuvre les cognitions et les processus sociaux ». Et si chez les animaux les émotions relèvent du « registre vital » et des questions de survie, chez les humains elles sortent rapidement de ce registre pour « intégrer les sphères du cognitif, du symbolique et du relationnel ». Ce qui fait dire à Umberto Ecco qu’à défaut d’ordre, ce qu’il aime à découvrir dans le monde c’est « une série de liens dans les menus lots des affaires du monde », un « bel écheveau bien enchevêtré ». Concernant le « partage social des émotions », existe-t-il des différences entre les sexes ? Oui, mais pas forcément comme on l’entend, dans la mesure où il est erroné de penser que les hommes n’expriment pas leurs émotions : à la différence des femmes qui « entretiennent un réseau relativement diversifié de partenaires », les hommes réservent « le partage social de leurs émotions à leur épouse ou à leur compagne ». En fait, essentiellement à la personne « à laquelle ils se montrent nus ». Concernant la « propagation sociale de l’information émotionnelle », là aussi chacun a pu faire l’expérience de ce que dit Bernard Rimé. C’est terrible mais, reconnaissons-le, plus l’information émotionnelle est jugée « confidentielle », plus elle est certaine de voir sa confidentialité voler en éclats, et ce dès le premier partage ! Pire : si l’on ne respecte pas la confidentialité des expériences émotionnelles, on ne respecte pas non plus « l’anonymat de la source de la communication confidentielle ». En effet, triste constat, une « source » restée anonyme amoindrit le partage de l’émotion ! Et il est drôle de constater qu’émetteurs et récepteurs « s’accordent pour considérer que le lien de confiance qui vous unit à une personne transcende la confiance qu’une autre personne met en vous lorsqu’elle vous confie quelque chose ». Bref on fait confiance plus que l’on est digne de confiance. Enfin, à quoi servent donc tous ces récits que nos chères célébrités viennent parfois nous narrer à la télévision ? À mettre en place un « immense ressassement national » par lequel « les expériences individuelles accèdent à la mémoire collective ». Une des grandes leçons à tirer, selon notre psychosociologue, renverrait donc au fait d’apprendre aux enfants à développer des « compétences narratives » pour qu’ils aient les moyens de « négocier avec la réalité » et de s’intégrer socialement ; le récit des émotions permettant notamment de combler l’écart entre l’ordinaire et l’exceptionnel, le même et le différent... En fait, les émotions, pas pour mieux subir, mais pour mieux comprendre. "
(1) Bernard Rimé, le Partage social des émotions.
Artigo da edição de 12 de outubro 2005 do L'Humanité. |
posted by George Cassiel @ 1:44 da tarde |
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Nomeações |
Apetecia-me mesmo escrever sobre o Ministério da Cultura... e a Ministra... e o Teatro Nacional... e o teatro da trindade!
Mas já se bateu tanto, que só quem não quer ver... |
posted by George Cassiel @ 10:15 da manhã |
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Irregularidades |
Avaliando a irregularidade dos posts... Resultando: "anda mal! isto!" |
posted by George Cassiel @ 10:13 da manhã |
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quarta-feira, janeiro 11, 2006 |
E porque não? |
Ano novo, vida nova... a mesma livraria de sempre... a visitar! |
posted by George Cassiel @ 6:27 da tarde |
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sexta-feira, janeiro 06, 2006 |
Um outro bairro |
... muito diferente deste! |
posted by George Cassiel @ 2:27 da tarde |
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A propósito d' O Mar de Gelo |
Há livros assim, talvez por admiração inexplicável pela obra da autora, talvez por empatia sensitiva a cada mudar de página que me provoca o texto de Ana Teresa Pereira, talvez por, a cada linha, florescerem sonhos e um calor que aconchega, como se a cada capítulo nos apertasse mais o cobertor... há livros assim, que nos fazem correr por entre as palavras, engolindo-as quase sem saborear, para depois deixar fluir o prazer. Há livros assim e autores que nos deixam sem palavras para explicar... uma sensação de pele... talvez só isso, mas é tanto! |
posted by George Cassiel @ 12:40 da tarde |
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e porque já temos mais uma tradução... |
recomenda-se O BOM APRENDIZ de IRIS MURDOCH:
Divertida e extremamente tocante, esta obra de Iris Murdoch é também uma investigação sobre as várias crises espirituais do mundo moderno. Sobre este romance escreveu John Updike na New Yorker:
"É um dos seus maiores e melhores livros... Um livro que parece tão amplo como a vida, tão amplo e variado que não há duas pessoas que nele possam ler a mesma história."
Iris Murdoch nasceu em Dublin, em 1919, de pais anglo-irlandeses. Frequentou a Badminton Scholl, em Bristol, e estudou Literatura Clássica na Universidade de Oxford. Fez uma pós-graduação em Filosofia, em Cambridge sob a orientação de Wittgenstein e, a partir de 1948, ensinou esta disciplina em Oxford, cidade onde viveu a maior parte da sua vida. Escreveu ensaios filosóficos, peças teatrais, poesia e vinte e seis romances, onde é clara a influência de questões de filosofia moral. Morreu a 8 de Fevereiro de 1999 e é hoje considerada a mais original escritora britânica da sua geração. De Iris Murdoch, a Relógio D'Água publicou A Máquina do Amor Sagrado e Profano, que foi premiado com o Whitbread em 1974, e O Mar, O Mar, que venceu o Booker Prize em 1978.
in Relógio D'Água |
posted by George Cassiel @ 11:40 da manhã |
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quarta-feira, janeiro 04, 2006 |
Há pequenos gestos que nos fazem regressar... |
... como esta gota de pureza cristalina...
Li-o sofregamente numa só viagem de comboio! E regressei!... |
posted by George Cassiel @ 3:11 da tarde |
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terça-feira, janeiro 03, 2006 |
BOM ANO |
... e não é que aconteceu mesmo... desejo bom ano depois da data! |
posted by George Cassiel @ 12:02 da tarde |
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GEORGE CASSIEL
Um blog sobre literatura, autores, ideias e criação.
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"Este era un cuco que traballou durante trinta anos nun reloxo. Cando lle
chegou a hora da xubilación, o cuco regresou ao bosque de onde partira.
Farto de cantar as horas, as medias e os cuartos, no bosque unicamente
cantaba unha vez ao ano: a primavera en punto."
Carlos López, Minimaladas (Premio Merlín 2007)
«Dedico estas histórias aos camponeses que não abandonaram a terra, para encher os nossos olhos de flores na primavera»
Tonino Guerra, Livro das Igrejas Abandonadas |
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