terça-feira, março 15, 2005 |
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Faltam 3 dias:
O "Salon du Livre" deste ano, dedicado à Literatura Russa, tem início no dia 18 e termina a 23 de Março.
"La venue, pour la première fois depuis la fin de l’URSS, à l’occasion d’un Salon du livre, d’une délégation officielle d’auteurs russes à Paris a pour nous, plus que pour quiconque, valeur de symbole. La France a en effet été la terre d’asile de ce qu’on appelait les “Russes blancs”, un terme générique pour désigner tous les Russes qui refusaient le communisme. Parmi eux de grands écrivains comme Bounine, Tsvétaeva, Nabokov, Gazdanov et bien sûr Nina Berberova, qui écrivaient, publiaient avec difficulté certes, mais avec la volonté farouche de continuer la grande littérature russe comme la postérité allait finir par le leur reconnaître. Dans l’histoire d’Actes Sud il y a Nina Berberova, redécouverte par Hubert Nyssen, et l’aventure éditoriale qui s’ensuivit. Mais l’inverse est tout aussi vrai. D’écrivain de l’exil aux tirages confidentiels, Nina Berberova est devenue grâce à Actes Sud un écrivain mondialement reconnu jusque dans son pays. Fidélité, sensibilité particulière, bon an, mal an, Actes Sud a toujours veillé au fonds russe de son catalogue. Aujourd’hui, la délégation officielle invitée à l’occasion du Salon du livre compte six de ses auteurs : Marina Vichnevetskaïa, Tatiana Tolstoï, Vassili Axionov, Andreï Guelassimov, Vladimir Charov, Viacheslav Pietsoukh. Une occasion exceptionnelle de les lire et de se replonger dans une des grandes littératures mondiales."
Michel Parfenov directeur de la série “Lettres russes” © 2004 Editions Actes Sud |
posted by George Cassiel @ 10:14 da manhã |
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GEORGE CASSIEL
Um blog sobre literatura, autores, ideias e criação.
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"Este era un cuco que traballou durante trinta anos nun reloxo. Cando lle
chegou a hora da xubilación, o cuco regresou ao bosque de onde partira.
Farto de cantar as horas, as medias e os cuartos, no bosque unicamente
cantaba unha vez ao ano: a primavera en punto."
Carlos López, Minimaladas (Premio Merlín 2007)
«Dedico estas histórias aos camponeses que não abandonaram a terra, para encher os nossos olhos de flores na primavera»
Tonino Guerra, Livro das Igrejas Abandonadas |
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