terça-feira, março 21, 2006 |
Razões de intermitências |
O pensamento perde-se em outras avenidas, nas leituras e releituras em mãos, noutras escritas e ideias... mas este Blog permanece. A propósito de "outras ideias", tem sido interessante acompanhar a discussão em torno da nova obra do filósofo-pop (permitam-me esta classificação) Bernard Henri-Levy: American Vertigo. Entrevistas, blogues, apresentações, debates, discussões, textos, críticas... muito se tem dito. Procurem que vale a pena... nem que seja pela discussão. Ed. Grasset Présentation de l’éditeur: "Depuis la deuxième guerre d'Irak - et même bien avant... - les Etats-Unis occupent, dans l'imaginaire mondial, une place symbolique qui dépasse largement les notions de puissance, de politique, de géographie. L'Amérique, en vérité, est devenue un concept, une « région de l'âme », une matrice de passions et de phobies dont le déploiement contradictoire n'en finit pas d'infuser nos propres débats. C'est, précisément, cette réalité ontologiquement diverse que Bernard-Henri Lévy a voulu cerner, observer, penser, dans ce livre où le reportage se mêle à la réflexion, et où le pittoresque emprunte à la philosophie de l'histoire. A l'origine, ce livre est né d'une « commande » de l'influent magazine « Atlantic Monthly » : demander à un célèbre intellectuel français de visiter l'Amérique et de donner sens à ce pays-continent en refaisant - en plus vaste - le fameux voyage qu'Alexis Tocqueville avait entrepris au début du XIXème siècle, à partir duquel il avait écrit son désormais classique « De la démocratie en Amérique ». Pendant une année, B.-H. Lévy a ainsi sillonné les Etats-Unis. Plus de vingt mille kilomètres d'est en ouest et du nord au sud, la plupart du temps par la route : de Rikers Island à Chicago, des communautés islamiques de Detroit à une enclave Amish de l'Iowa, l'auteur interroge la nature du patriotisme américain, la coexistence de la liberté comme de la religion, le système pénitenciaire, la « tyrannie de la majorité », le retour en force de l'idéologie... B.-H.L. a rencontré tous les visages de l'Amérique : les illustres, les anonymes, ceux du désert ou des mégapoles. De Sharon Stone à une veuve de mineur du Wisconsin, d'un milliardaire philantrope à Norman Mailer, de Woody Allen à un « homeless » de Californie, d'Hillary Clinton à un contestataire turbulent, de Barack Ohama, la star montante de la politique, à la pensionnaire d'un bordel du Nevada, il écrit la comédie humaine de ce pays-continent. D'où la vitalité prodigieuse de ce « reportage philosophique » qu'on dévore, page après page, avec un enthousiasme qui ne se dément jamais. Un oeil de romancier, et une profondeur de penseur. Les conclusions de ce voyage ? B.-H.L. les tire en chemin, et elles sont souvent contradictoires. A l'heure où la « démocratie en Amérique » est de plus en plus contestée, ce livre atteste, au contraire, de sa prodigieuse vitalité. A cet égard, l'épilogue substantiel de ce livre (une centaine de pages) permet au « philosophe » de reprendre le pas sur le « journaliste » et le final de cet ouvrage conduit son lecteur au coeur des grands débats - des thèses de Fukuyama ou Huntington aux arrières-pensées des « Néo-conservateurs » - dont la complexité, bien souvent, gouverne le destin du monde." |
posted by George Cassiel @ 11:19 da manhã |
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GEORGE CASSIEL
Um blog sobre literatura, autores, ideias e criação.
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"Este era un cuco que traballou durante trinta anos nun reloxo. Cando lle
chegou a hora da xubilación, o cuco regresou ao bosque de onde partira.
Farto de cantar as horas, as medias e os cuartos, no bosque unicamente
cantaba unha vez ao ano: a primavera en punto."
Carlos López, Minimaladas (Premio Merlín 2007)
«Dedico estas histórias aos camponeses que não abandonaram a terra, para encher os nossos olhos de flores na primavera»
Tonino Guerra, Livro das Igrejas Abandonadas |
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