| quarta-feira, junho 15, 2005 |
| Magazine de Junho |
"Capitale culturelle, emblème du « melting pot », creuset artistique, New York est la ville-monde par excellence. D’Edith Wharton à Paul Morand ou Don DeLillo, elle n’a cessé de fasciner les écrivains, qui commencent à s’approprier le 11 Septembre. Haut lieu du luxe pour Truman Capote, symbole des guerres sociales pour Tom Wolfe, cauchemar urbain pour Bret Easton Ellis, « la ville qui ne dort jamais » montre des visages changeants dont la profusion décourage toute tentative d’exhaustivité. Mais l’on peut toujours visiter l’Ellis Island d’un Georges Perec ou le Brooklyn rêvé d’un Paul Auster en songeant aux frasques de la génération perdue ou à la figure de l’intellectuel juif new-yorkais… Sillonner les rues si droites et pourtant si imprévisibles de la Grosse Pomme revient dès lors à suivre les lignes de force qui structurent non seulement un continent et une société, mais aussi l’imaginaire d’une vaste constellation littéraire, éternelle et mouvante." |
| posted by George Cassiel @ 1:00 da tarde |
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GEORGE CASSIEL
Um blog sobre literatura, autores, ideias e criação.
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"Este era un cuco que traballou durante trinta anos nun reloxo. Cando lle
chegou a hora da xubilación, o cuco regresou ao bosque de onde partira.
Farto de cantar as horas, as medias e os cuartos, no bosque unicamente
cantaba unha vez ao ano: a primavera en punto."
Carlos López, Minimaladas (Premio Merlín 2007)
«Dedico estas histórias aos camponeses que não abandonaram a terra, para encher os nossos olhos de flores na primavera»
Tonino Guerra, Livro das Igrejas Abandonadas |
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